mardi 21 avril 2009

« Comme si les mots suffisait à décrire un manque. »



Je mens , tu mens. Papa, Maman, Sarko, nos profs, nos patrons, nos voisins, les écrivains, les médecins mentent. Nous mentons tous. Mais un jour il va valoir ce rendre compte que la vérité se sait toujours. J'ai trop mentis, je vous ai trop mentis et je me suis trop mentis. Mais le pire c'est sans doute que j'y croyais à ces conneries. Maintenant il n'y a plus rien a espéré de moi. Je suis que le reflet de moi même et je sombre petit à petit dans le vide qu'ils m'ont laissé. Les mensonges nous ont détruit. Je n'attends plus rien de personne, je souffrirais peu être un peu moins ainsi. J'ai toujours clamé haut et fort que votre avis de compté pas, c'était peu être faux, mais aujourd'hui je me sens capable d'affronter la réalité tel qu'elle ait. Il était temps que je me rende a l'évidence. Mais vous savez ce que c'est vous de vous levez le matin et de vous demandez où vous avez passé la nuit ? De parfois ne même pas réussir à ouvrir les yeux ? De ne plus différencier le fictif du vrai ? De sentir toujours cette même odeur de tabac froid sur vos vêtements où que vous soyez ? Vous savez ce que c'est vous de ne plus arriver à aimer personne ? De mépriser tout et tout le monde ? De ne même plus ressentir un semblant d'humanité ? Vous savez ce que c'est vous de vous faire peur à vous même ? Il fut un temps je fumais trop, je buvais trop, je consommais trop, je mentais trop. Ma vie n'était que débauche et j'avais touché le fond. Vous savez ce que c'est vous de perdre les gens a qui vous teniez pour simple prétexte que vous n'êtes plus la même ? D'en être arrivé au point à ce que votre propre mère vous dise que vous êtes une erreur ? Certes c'est du passé, mais ça fait toujours mal, c'est toujours la même sensation horrible. La sensation que l'ont plonge les mains dans votre corps pour vous arracher le coeur et le piétiner sous vos yeux. Mais vous savez on veut tous s'en sortir.
Tout est mensonge.

« They had promised themselves so much, to realize in finale that everything was only lie. »







« You and me it was an obviousness »


Je t'aime. De A à Z. Des pieds à la tête, des épaules aux falenges , du bout des doigts aux lèvres , du nombril au coup . De ta voix a ton rire , de ton sourire à tes pleurs, de. tes gestes à- des calins. Je t'aime. Plus qu'un pot de Nutella, plus qu'une marlboro light un lendemain de soirée. Plus qu'une journée de shopping a LA -, plus qu'un concert des- Rollings stones. J'aime ton rire , tes yeux , tes lèvres ., tes joues , tes mains- , ton ventre, ton sale caractère et tes crises de nerfs. Je t'aime toi .